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Le tableau ci-dessus offre un résultat presque complet des résultats obtenus de 2013 à 2020 quant au rendement des palmiers. Il apparaît clairement la progression constante des taux de récoltes et consécutivement le volume de litres d »huile. Une estimation faite les premières années nous avait montré que la quantité d’huile correspondait au tiers du Kg des noix récoltées. A titre d’exemple, lorsque le tableau ci-dessus mentionne pour le mois d’avril 2013, 250 litres d’huile, il faut estimer les noix récoltées à 750 Kg. En outre, le lecteur relèvera certains vides dans les statistiques de certains mois ou une baisse drastique cruciale au rendement. Par exemple, l’on est passé de 285 litres en janvier 2018 à plus de 1000 litres entre mars et avril, pour descendre à une centaine de litres dans la période de Juin-juillet. Ce sont soit des moments où il n’y a presque plus de noix sur les arbres (période de basse saison) pour la période couvrant juin à août. Par contre, les performances de chaque année peuvent se mesurer entre février et avril. Le cas de la fin d’année est particulier: si la quantité de noix récoltée est souvent abondante, elles sont dépourvues d’huile, leur pulpe étant plus pâteux. Est-il possible de remédier à ce genre de fait? Les experts en la matière pourront nous donner des avis conséquents. Pour notre part, nous pensons, après avoir procédé à l’irrigation du périmètre, vérifier l’hypothèse du manque de pluviométrie en ces périodes de fin d’année. Ce qui est certain, le rendement de la palmeraie pourrait être plus que redoublé lorsque tous les palmiers auront 12 ans d’age et avec l’apport de l’irrigation que nous initierons dans les prochaines années. Somme toute, il est permis d’espérer surtout en poursuivant les efforts entrepris.